Échanges fugaces, de part et d’autre d’un quai de gare… De train à train, l’attente, l’étonnante absence d’imagination dans l’évanescence d’un lien fragile et tremblant, brisé, recréé, rebrisé… La tendre amertume d’une fatalité aux multiples visages, éclairée par son sourire le moins cruel envers mes illusions.
Puis le vide.
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