08 octobre 2011

Une maison sur le sentier (ter)

Vous vous approchez de la fenêtre, derrière laquelle vous apercevez une pièce dont les dimensions semblent épouser la largeur de la maisonnette, ce que confirme l’apparente absence de porte autre que celle de l’entrée. Portant votre regard vers le fond de la cabane, vous distinguez une cheminée sur le linteau de laquelle semblent posés quelques bibelots que vous ne parvenez cependant pas à discerner suffisamment nettement pour les identifier. Aucun feu ne brûle dans le foyer. Le long du mur de droite, vous remarquez, posé sur une table sous laquelle une chaise est rangée, un livre placé à côté d’un petit encrier duquel émerge une plume d’oie. Appuyé contre le mur opposé, un miroir se dresse sur une seconde table, plus petite et de forme circulaire. Le long de ce même mur, près de la porte d’entrée, vous saisissez du coin de l’œil l’extrêmité d’un lit. Bien que tout désigne l’endroit comme habité, il semble n’y avoir, pour l’heure, nulle âme qui vive.

À présent, allez-vous :
— essayer d’entrer dans la maison ?
— en faire le tour ?
— quitter le sentier pour vous enfoncer dans les bois qui le bordent sur la gauche ?
— continuer de marcher dans la même direction ?
— revenir sur vos pas ?